Le plus attendu de
l’année
The Atlas Moth – Coma noir. Après The Old Believer,
j’attendais avec impatience ce nouvel album. Et je n’ai pas été déçu. Il a joué
souvent tout au long de l’année.
Ça a joué dans le
char
Ghost – Prequelle.
On dira ce qu’on voudra de Ghost, ils ont petit quelque chose d’accrocheur. Le
vidéoclip de Rats déjà mélangeait savoureusement la danse et le pop-métal à
tendance satanique. Mais le mieux avec Ghost, c’est que toute la petite famille
a aimé ça. Les enfants connaissent les tounes par cœur (pas avec les bonnes
paroles, mais bon, on peut pas tout avoir), et ça joue boucle dans le char.
Retour en force
Atrocity – Okkult II.
Atrocity n’avait pas fait grand-chose qui m’ait fait depuis triperAtlantis… en 2004. Avec Okkult
II, ils sont en pleine forme.
Du synthwave?
Gost – Possessor.
Le synthwave a la cote. Vous savez, cette musique qui sonne comme la trame
sonore d’un film des années ’80? J’ai essayé plusieurs trucs. Perturbator est
parfait pour faire de l’elliptique… Mais celui qui a marqué mon écoute est
Possessor de Gost. À cause de la thématique horreur assumée. Il est un peu plus
violent que les autres de sa catégorie.
Découverte goth
Lovelorn Dolls – Darker Ages. Entre le rock gothique et le
métal, Lovelorn Dolls a rempli une case musicale fort intéressante cette année.
Un album varié que je suggère aux amateurs de noirceur planante.
Des vampires!!! (Pas
vraiment, mais on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a)
Le black métal vampirique manque dans la scène musicale
actuelle.
Tribulation – Down
Below. Black métal horrifique à saveur black’n’roll. Que dire de plus?
Blutvial – Mysteries
of Earth. Ça décape le bon black métal violent et malsain.
Post-métal, avant-garde
et progressif
Manes – Slow Motion Death Sequence. Encore une fois, Manes ne
déçoit pas. Une petite merveille.
The Ocean – Phanerozoic I: Paleozoic. Un album que j’ai découvert
avec plaisir, petit à petit, couche par couche. La voix de Jonas Renkse sur la
pièce Devonian: Nascent fait patienter jusqu’au prochain Katatonia.
Ocean of Slumber – The Banished Heart. Métal gothique? Métal
progressif? Un album superbe qu’il ne faut pas manquer.
Doom métal et autres dépressions
Mon genre métallique de prédilection est le doom-death ou le
funeral doom. Voici mes coups de cœur de l’année de ce côté.
Altar of
grief – Iris. Excellent doom-death de Régina en Saskatchewan. Leur
label, Hypnotic Dirge Records, a été une superbe découverte cette année.
Evoken – Hypnagogia. Un
album marquant de l’automne. Ici, Evoken ajoute des cordes à sa musique sombre
pour un effet fort réussi.
Rome in Monochrome – Away from light. Dans la veine du Katatonia
moderne. On se laisse bercer.
Tomb of Finland –
Frozen Beneath. Du doom-death comme on l’aime.
Comatose Vigil A.K.
Doom métal funéraire très noir.
Du folk avec un cœur
de métal.
Thrawsunblat – Great
Brunswick Forest. Faut l’écouter pour comprendre. Ça m’a pris quelques
écoutes avant d’embarquer, mais ça a un charme certain, comme les grandes
forêts canadiennes. La bonne musique pour partir en randonnée. Du métal pas
métal.
Il y aura surement dans les prochaines semaines d’autres
découvertes deuxmilledixhuitesques, comme les derniers Sigh ou In the woods…
que je n’ai pas encore vraiment écoutés. En plus des découvertes sur les tops
de fin d’année. Pour le reste, bonne année 2019!
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