C’était la pièce de résistance de mon party cinéma.
Une splendide machette sud-américaine importée du Brésil. Son manche sculpté dans un bois noir avait vieilli dans la cour arrière d’un artisan de Manaus. Poli par des techniques centenaires, le fil de la lame était encore coupant après toutes ces années. Sa lame de fer avait été polie par des techniques vieilles de plusieurs centaines d’années et son fil était encore coupant après tout ce temps. Quand je l’ai vue, étendue sur un kiosque de bois pourri aux abords d’une route de terre, j’ai tout de suite imaginé l’effet qu’elle aurait sur mon club d’amateurs de films sanglants. Elle était tout droit sortie d’un film gore. On aurait même dit, avec son manche aux formes étranges, qu’une malédiction était livrée en bonus avec la lame.
Quelle malédiction? Il faudra lire la suite pour le savoir!
Pour plus de plaisir, abonnez-vous à la revue. Faites le avant le 1er novembre et vous pourriez gagner mon roman Jardin de chair. Ok, vous ne voudrez pas attendre si longtemps pour le lire, mais le grand prix vaut la peine de tenter sa chance: une affiche de l'illustration de ce numéro de Clair/Obscur, réalisée par Émilie Léger.
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